Meridian Anarchy
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Meridian Anarchy

clans de gens sauvages, se battant pour la liberté.
 
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 Effie

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Effie
ιт'ѕ ɢoɴɴα вe leɢeɴd...wαιт ғor ιт....dαry ! leɢeɴdαry ! ι'м αweѕoмe
Effie


Messages : 62
Date d'inscription : 25/07/2012

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MessageSujet: Effie    Effie  EmptySam 30 Mar - 2:21


Effie
The impossible is reasonable
[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]Surnom(s) (facultatif) Eff`
Sexe
Date de naissance & Âge Un jour de Printemps en Avril. Le 14. Il y-a 19 ans
Orientation Sexuelle Toutes possibilités est comprise
Phobie(s) Aimer. Etre compromise à quelconque règles
Rang ...
Clan, Voyageur ou Ombrageux Voyageuse
[ PHYSIONOMIE ]
A vrai dire je suis de celles qui pensent que l’on ne peut pas résumer la personnalité d’un être tel qu’est l’être humain avec de simples adjectifs. Chaque personne est unique par sa personnalité et donc essayer de définir un tout est une perte de temps. Mais puisque il le faut je vais tenter de décrire ce que je suis. Je suis d'une patience rare, aussi maniant la patience comme Zorro manie l'épée. Je peux faire attendre des jours et des jours avant de frapper ma proie. On pourrait parler de sadisme mais est-ce réellement cela ? Je pense que non car je ne fais cela sans pure méchanceté. Lorsque on bascule du côté de la proie on veut juste savourer les moments en tant que prédateur. Car même si beaucoup le nie l'être humain aime garder le peu de pouvoir qu'il a. Personne n'a de réelle vertu, tout le monde à une part d'ombre. Sans ombre, pas de lumière, donc je peux me gratifier de faire partie de l'un ou l'autre, à vous de définir de quel côté je penche, car l'un ne peux exister sans l'autre. Je manie ma philosophie comme j'aiguise une lame, le plus proche de la perfection. Je pense comme je suis. Si vous ne me suivez pas je ne peux rien pour vous car je ne changerais pas. L'Amour ? Je peux m'y prêter mais je n'ai jamais rencontré la personne qui ferait battre mon coeur, un peu exigeante peut être. Mais comment m'en vouloir, j'ai rencontré tellement de personnes différentes que j'ai droit de vouloir choisir la bonne personne. Mes véritables histoires ont toujours été des échecs. S'il y-a bien quelque chose dont je peux me vanter c'est comment je manie les mots. Je suis plutôt philosophique dans mon genre. Même si la plupart du temps les gens ignorent les double sens de mes phrases ils n'y prêtent plus attention, cherchant juste à déchiffrer l'alignement des mots qui fusent de mes lèvres. Mais comme je le dis sans cesse la perfection est un but mais, même si l'impossible est raisonnable, personne n'atteint la perfection à l'état pur. Ou du moins pas de mon vivant. Donc comme toute personne j'ai mes qualités mais aussi mes défauts. Défauts qui m'ont souvent causé du tort. D'une curiosité entêtante je veux toujours en savoir plus, on peut prendre ça comme une soif de savoir mais parfois à toujours vouloir savoir je me mets dans des situations ridicules ou dangereuses. Le plus souvent la deuxième option. Joueuse et traîtresse. Je l'appelle mon " jeu ". C'est simplement ma vie. Ma propre vie et pas celle des autres. Play with game, it's the fun, no ? Pour arriver à mes fins je suis prête à tout, même à trahir des amis, mais jamais n’altérerait ma loyauté envers ma famille, si je la retrouve un jour. En parlant d'amis j'en ai plus aucun à ce jour. Même si j'ai eu quelques amis ils m'avaient désirés comme un trophée. La plupart me dise jolie. Mais qu-est-ce la beauté ? Ce n'est ni un sentiment ni une affection particulière. Ce n'est qu'une enveloppe charnelle qui nous contient, pas une beauté. Parfois je reste à contempler mon reflet dans l'eau, essayant de comprendre l'attirance qu'à ce corps qui retient mon âme. Peut être est-ce mes prunelles océanique qui semble contenir des lambeaux d'un ciel d'été comme me l'avait dit mon frère. Ou mes mèches dorés. Ou sinon est-ce le tout, mes prunelles sur ma peau d'ivoire et mes lèvres rosées ? Je ne sais pas. Seul l'Univers connaît la réponse que je cherche.


[ HISTOIRE ]
J'avais une vie avant. Une famille. J'avais même un frère dont le nom ne me reviens pas malgré mes efforts. Puis c'est comme une page noire qui s'est fermé sur ma mémoire ne laissant comme ouverture ce souvenir.

.....

Je ne pourrais dire combien de temps dura ma course. Je cherchais un échappatoire. La vie me semblait qu'un flot sombre qui se ternissait avec le temps jusqu'à que la mort fut face à moi. M'accrochant au peu d'espoir possible, je tentais de fuir même si l'issue semblait défini à l'avance. Autour de moi les bruits de course s'enchainaient, se rapprochant de plus en plus. Non, je ne voulais pas mourir ainsi. Pourtant à peine une heure plus tôt j'avais pensé que la mort serait ma délivrence. Mais lorsque l'on pense à la mort, tranquillement assis sur son canapé l'aspect est bien différent de la véritable mort. Les effluves de sang emplissaient mes narines, l'odeur métallique me fit frémir et je trébuchais. L'odeur du sang était plus qu'omniprésente. J'étais à présent à quatre pattes sur le sol humide d'une forêt. Jamais avant je n'étais venu par ici mais je me fichais bien de savoir où était mon chemin, ma délivrence était d'atteindre un sentier et d'arriver quelque part où je pourrais me protéger. Mais la chance est infime... Je me sentais nauséeuse, et par réflexe je plaquais une main contre mon estomac pour chasser cette oripilente envie de vomir. J'étais soustraite, je n'avais plus l'espoir de pouvoir fuir. Je tentais encore de me relevais mais à peine debout une main entoura mon visage et j'étais accolée contre mon assaillant. Je tentais de dégager son bras, enfonçant mes ongles dans sa chair, donnant quelques coups à l'aveugle. Un rire rauque s'échappait de sa gorge et me glaçait le sang. J'étais terrfiée mais déterminée à vivre. Il me jeta sur le sol et me rua de quelques coups chaque fois que je tentais de me remettre debout. Je ne voyais pas son visage, il faisait trop sombre pour distinguer ses traits. Une migraine battait mes tempes me faisant grimaçait. Ma mort n'était que ma faute. J'aurais dû être moins fougueuse, plus réfléchi. J'aurais dû me battre pour une cause véritable, l'amour par exemple, mais pas une liberté qui menait à la mort. Quelques larmes de colère perlaient sur mes joues, même sans le voir j'avais deviné qu'il souriait. C'était la fin de mon monde. Le ciel d'encre était éclairé par des flammes, d'où venait le feu ? Je n'eus le temps d'y réfléchir. Mon bourreau s'approcha de moi puis me releva brusquement. Je me sentais faiblir, mes forces m'abandonnaient. Je laissais échapper une plainte étouffée et je me laissais faire. J'attendais qu'il porte le coup fatal. Je me trouvais adossé contre lui, ses bras m'entouraient comme ceux d'un amant. Je luttais pour ne pas sombrer dans l'inconscience. Ses doigts passèrent plusieurs fois sur ma gorge blanche puis une douleur lancinante s'y déclara. Un filet de sang chaud coula de la plaie jusque sur mon épaule puis finit sur mon bras. Je sentais que j'allais m'évanouir sous peu. Il promenait sa lame froide contre ma peau. Il jouait avec moi, j'étais sa proie. Il me faisait attendre la mort jusqu'à que je lui quémande. Son jeu dura plusieurs minutes puis je sentis la lame dans mon dos s'appuyait doucement dans ma peau. La douleur s'étendait et j'avais l'impression d'être serrée dans un étau brûlant. Je sentais mes jambes flageolaient, je ne tarderais pas à tourner de l'oeil. Je tentais de me détacher de son étreinte mortelle, je n'avais plus de force mais je ne pouvais simplement pas mourir ainsi, sans avoir essayé à nouveau. Mourir dans les bras de son assassin à attendre que la mort arrive d'elle-même m'était inconvevable. Je lui assenais un coup de coude dans l'estomac, la surprise de ma soudaine réaction face à lui l'avait fait reculer d'un pas, je regardais autour de moi, il me fallait une issue, m'enfoncer encore plus dans la forêt ne ferait que retarder ma mort. Je devais trouver un sentier, une route, une habitation quelconque. Au loin les flammes semblaient brûler le ciel lui-même. C'est alors qu'une farandole de claquements de sabots s'approchaient. J'étais près d'un sentier ! Je courais vers l'origine du bruit. Subitement je fus précipitais à terre mais me réceptionnais contre un arbre. J'eus à peine le temps de me dégageais que la violence d'un nouveau coup me fis partir à reculons. Pour la première fois j'étais face à lui, je ne distinguais pas son visage, entre le brouillard omniprésent et l'obscurité nocturne. Des voix de foule s'approchaient, puis une odeur suffocante de cendres monta. Le brasier avait atteint ces bois. Les flammes se propageaient à une vitesse folle, mon assaillant sembla pour la première fois paniqué de la situation et il s'approcha de moi. Ces gestes avant lents et précis devenaient rapides et précipités. Il me pris le poignet et m'entailla la chair, je n'avais pas compris son geste mais n'avait pas riposté. J'étais trop sonnée par les multiples coups reçus mais il me fallut peu de temps à saisir. Le sang afflua de la blessure et coulait le long de mon bras. Je perdais beaucoup de sang et la vue de mon bras ensanglanté me rendis nauséeuse à nouveau. J'eus juste le temps d’apercevoir qu'il partait en trombe, sa silhouette disparaissant dans le brouillard. Puis je me sentis sombrer dans l'inconscience. Mes paupières se fermant sur une page totalement noire.

....

C'était lorsque l'aube m'avait réveillé que je n'avais plus que ce souvenir. J'avais sombré huit jours durant. C'était ce jour que j'avais rencontré la seule amie que je n'eus eu dans ma courte existence. Il y-a deux ans déjà. Elle m'avait trouvé, vidée de mon sang, évanouie dans la forêt.
Elle avait pansé mes blessures et notre amitié débuta. Quelques mois d'insouciance. Je regrette encore l'insouciance qu'on les enfants. Elle supposait que ma famille était décédé dans l'incendie de mon souvenir, ou bien elle avait fuie dans la forêt de Dusk, la forêt la plus proche même si elle était loin, des semaines de marche entières. C'est à ce moment que j'avais décidé de les retrouver. C'est durant ce périple que la mort l'a cueillie dans ses bras, un brigand, je l'ai vengée même si ce fut mon premier mort. Je me rappellerais toujours d'elle, son nom, son sourire, ses idées, mon amie. Ce périple je l'ai finie, la forêt de Dusk est imposante et contient des Claneux, peut être sont-ils ici ? Ou morts ? Ou plus loin encore. Ce périple je l'arrête devant ces bois. pour se souvenir, pour retrouver ma vie, pour savoir.


Prénom (facultatif) ...
PUF Sha`
Âge (facultatif) 16
Expérience en Rp ...
Quelle sera votre niveau d'activité ? 7/7 j
Votre avis sur le forum: L'est beau, l'est bien ♫
Code ...
Codage © Syra on [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien]
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Effie
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Effie


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MessageSujet: Re: Effie    Effie  EmptyDim 31 Mar - 23:32

J'ai finis ma prez`
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Walker
Wookies are so fluffy !
Walker


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Age : 27
Localisation : In a world of pure imagination ♪ Duh !

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MessageSujet: Re: Effie    Effie  EmptyLun 1 Avr - 0:03

W-A-O-U-H => WAOUH ! //PAN//

Super, je reconnais l'histoireuh xD Bref, bienvenue quand même x) J'adore ton perso, ça promet :3
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MessageSujet: Re: Effie    Effie  EmptyLun 1 Avr - 1:34

Ouais en plus de l'extrait j'ai fait un mélange avec mon tout premier perso de MA, tu t'en souviens de Aïres ? Ahah x)
Et merci pour le rerebienvenue x) J'suis parée à Rp's, Attention j'arrive //MUR//
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MessageSujet: Re: Effie    Effie  Empty

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Effie
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